Samantha ROTHMANN
Auteur de romans
Ce que les lecteurs pensent de M.D.U.S.A.L.
« [...] C’est plus qu’un livre sur le harcèlement scolaire… c’est comme une première biographie. […] Je me suis […] souvent retrouvé dans votre propos, d’autant que nos caractères doivent avoir quelques points communs.
Je comprends bien votre parcours, votre maturité précoce, votre soif d’apprendre, votre décalage avec les autres enfants, et surtout l’anxiété qui vous a rongée. Je devine combien ce livre fut pour vous un exutoire, même des années après.
J’ai apprécié la galerie de portraits des profs, à la fois ciselée, amusante et traduisant hélas des vérités. J’y ai retrouvé quelques-uns des miens !
Il est désespérant (mais pas vraiment surprenant) de constater les lâchetés du système, ce qu’on appellerait aujourd’hui le « pas de vague », qui sape l’Éducation Nationale, et par ricochet les enfants qui passent dans ses filets.
[…] Si je peux me permettre, je soumets une citation de Mathieu Ricard à votre réflexion : "Le bonheur est une manière d’être. Or, les bonnes manières s’apprennent." »
L.B.
« Un témoignage dur et poignant sur le harcèlement scolaire. L’autrice retrace sa vie depuis ses premiers pas à l’école primaire jusqu’à ses études supérieures et ses premiers jobs, et décrit le harcèlement qu’elle subit pendant trois ans au collège, l’absence de sanction contre les harceleurs, son sentiment de ne rien apprendre en cours, son isolement, ses questionnements… Comme elle, on a envie de secouer les adultes qui tournent la tête et laissent faire, de crier à l’injustice… Au milieu de toutes ces persécutions, quelques moments plus légers, savourés, redonnent espoir : une rencontre, un voyage, une amitié…
Le système éducatif français en prend pour son grade tant du point de vue de l’élève que de celui de l’enseignante, puisqu’elle a un bref temps enseigné les mathématiques. Élèves irrespectueux et chahuteurs, parents à côté de la plaque, nivellement par le bas, talents réprimés… Désespérant. Beaucoup de réflexions intéressantes et pertinentes essaiment ce témoignage, aussi agrémenté de poèmes de l’autrice.
Ce genre de livre devrait être à mettre d’urgence dans tous les CDI. »
Clémence Chanel
« ‘‘Cataloguée comme bonne élève, repérée comme timide et solitaire, je constituai une proie idéale.’’ Les mémoires de Samantha Rothmann ne sont pas que les siennes, mais celles de nombreuses bonnes élèves (à lunettes ou pas). Et pour tout le monde, un livre indispensable pour comprendre ce qui se passe dans les écoles de France. »
S.D.
« Un témoignage authentique, bien écrit, sans langue de bois et plein de sensibilité. Un auteur à découvrir. »
Hugo
« Un récit autobiographique poignant, qui souligne beaucoup de failles du système scolaire, tantôt avec gravité, tantôt avec humour. Très bien écrit, c'est une aventure qui se dévore avec régal ! »
Benoît Jan
« [...] je vous conseille la lecture de Mémoires d'un serpent à lunettes de Samantha Rothmann, un beau témoignage sur le harcèlement scolaire, qui en détaille bien les mécanismes, les effets sur les personnes qui les subissent et qui est en même temps un livre lumineux et plein d'espoir. Bonne lecture ! »
Axelle Rallier du Baty
J'ai fini la lecture des "Mémoires".
Ce que je lis confirme ma position sur l'enseignement actuel.
Rien de commun avec l'école de ma jeunesse où le respect régnait généreusement.
Ma période "prof de maths" m'a appris beaucoup de choses qui rejoignent exactement ce que [vous] décri[vez]. […], je découvrais avec horreur que ce monde avait bien changé.
Tous me racontaient sensiblement les mêmes faits. [Vous] a[vez] bien résumé toutes ces déviances.
Laxisme, désintérêt, harcèlement, drogue...
Tous ces mots faisaient partie du vocabulaire de mes " bambins ".
Quant au harcèlement, c'est abominable.
On peut se demander comment un être humain peut supporter cela.
[Vous avez] eu un courage exceptionnel. Plus d'une fois, ce que je lisais me faisait mal.
[…] On tient le coup car on croit qu'un jour ça va s'arrêter... Grave erreur.
En tout cas bravo pour ce livre passionnant et aussi pour [votre] courage d'avoir pu raconter tout cela.
Philippe R.